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MILIEUX AQUATIQUES

Philippe Garcia

Président

D’abord actif quelques années dans le domaine aérospatial, Philippe à décidé de prendre un autre tournant dans sa vie : il s’engagé dans des études médicales, et exerce une douzaine d’années en tant que médecin-chirurgien en ophtalmologie.

A 50 ans, il décide une nouvelle fois de bouleverser sa vie afin de revenir aux fondamentaux de don enfance, passée dans la campagne et au bord de l’eau, et de revivre cette relation aussi proche et régulière que possible avec l’environnement.

La vision de la nature détériorée sans cesse par l’humain le préoccupe de plus en plus.

Après la faune africaine qui l’avait fait rêver petit, il s’intéresse depuis l’adolescence à tout ce qui vit, bouge et respire sur terre, dans les forêts, dans les rivières et les océans. Des dizaines d’années plus tard à fréquenter les plages océaniques, la passion de la pêche récréative et le goût des études expliquent une grande attirance pour le monde sous-marin que nos yeux ne voient jamais, que nos esprits ne font qu’imaginer, ce monde si immense et invisible qu’il subit cette double peine d’être surexploité mais si mal protégé.

Il comprend qu’il ne faut plus se contenter de signer des pétitions mais bel et bien de donner de son temps et d’agir soi-même à son modeste niveau.

Mais comment si prendre ?

Il fallait alors choisir une cible à portée, sur sa côte originelle. Il faut ici remercier ce petit braconnier qui, à force d’excès et d’outrages envers des centaines de personnes éconduites par ses manœuvres dangereuses et surtout illégales en bord de mer, a réveillé en Philippe la graine qui tôt ou tard devait lever : il allait aussi ajouter son nom à la longue liste des lanceurs d’alertes et m’occuper de cette affaire de pêche du bar au filet maillant encerclant qui ne respecte pas les règles.

Mais cette affaire locale a été le déclencheur d’une aventure qui est devenue chaque jour plus passionnante pour qui aime à la fois l’action et les études.

Ses connaissances s’étendent vers d’autres aspects de la préservation des océans, il s’intéresse naturellement à d’autres problèmes. Les incohérences dans les textes réglementaires et dans leur application le poussent vers l’action juridique, alors qu’il ne dispose d’aucune formation dans ce domaine.

Aujourd’hui, c’est devenu son activité essentielle.

“Je ne me pose pas la question de savoir si l’association va pouvoir atteindre tel ou tel objectif mais je m’interroge seulement sur la façon d’agir plus efficacement aujourd’hui plus qu’hier pour y parvenir.

Je tire mes plus grandes satisfactions du constat que de plus en plus d’associations environnementales, grandes ou petites, naissent, grandissent et multiplient les succès juridiques et que de plus en plus de jeunes apportent leur temps et leurs compétences pour ces combats essentiels de l’Humanité. ”